photo Vélorail

Vélorail

Vie locale

Bitche 57230

Le 13/09/2025

L'association T2SB vous propose de réaliser du vélorail sur une ancienne voie ferrée à travers les forêts du Bitcherland. Parcours aller-retour vers la forêt de Mouterhouse (7 km) ou parcours aller-retour jusqu'à Lemberg (18 km). Capacité 4 adultes ou 5 personnes avec enfants (siège bébé disponible sur demande) par vélorail, tarif indiqué par vélorail. Uniquement sur réservation via la billetterie en ligne : https://www.t2sb.fr/billetterie Prière de se présenter 15 min avant l'horaire de départ. Les enfants à partir de 6 ans peuvent pédaler (1m40 minimum pour accéder aux pédales). Possibilité de visiter la gare de Bitche. Petite restauration et boissons proposées sur place. Possibilité de réserver les vélorails à la demande pour un groupe.

photo Lyrique - Les béatitudes

Lyrique - Les béatitudes

Musique

Metz 57000

Le 10/04/2026

César Franck considérait Les Béatitudes comme son œuvre majeure. Organiste de Sainte-Clotilde et fervent catholique, il travaille durant dix ans (de 1869 à 1879) à cette partition qui renouvelle de manière originale le genre de l'oratorio. De son vivant, il n'a malheureusement jamais pu en entendre une exécution intégrale avec orchestre. Les Béatitudes sont l'expression de la foi extrêmement profonde du compositeur, transformant sa prière en musique. C'est ce qui donne toute sa valeur et sa grandeur à cette œuvre rare, magistrale, ardente et engagée.

photo Magnificat / Henri Michaux : Mouvements

Magnificat / Henri Michaux : Mouvements

Danse - Bal - Cabaret, Musique

Forbach 57600

Le 10/02/2026

De Bach à Michaux, entre spiritualité et transe. Pour découvrir l’écriture si singulière de la québécoise Marie Chouinard, l’une des grandes signatures de la danse contemporaine, voici un programme qui s’appuie sur deux pièces impressionnantes : MAGNIFICAT, sa toute dernière création, et Henri Michaux : Mouvements, un des joyaux de son répertoire. Dans la première, la chorégraphe multi-primée s’empare de l’œuvre éponyme de Bach pour créer une danse intense et mystique, où les corps s’élèvent, se tordent et s’unissent au rythme de la musique, comme une prière en mouvement. Dans la seconde, elle plonge avec délice dans l’univers du poète et dessinateur franco-belge, en donnant vie avec fracas à ses esquisses fulgurantes et à ses visions graphiques. Les danseurs deviennent les lignes, les formes et les vibrations de l’artiste, entre abstraction et transformation, dans un enchaînement d’images de plus en plus percutant. Les deux pièces nous offrent une soirée virtuose où le sacré et l’expérimental s’entrelacent avec puissance. Infos pratiques : Danse, sans paroles. Durée 90 min avec entracte. A partir de 15ans. Le Carreau - scène nationale : 10 février 2026 à 20h00. Navette[...]

photo EXPOSITION - ÉPAULE ET MARCHE

EXPOSITION - ÉPAULE ET MARCHE

Manifestation culturelle

Metz 57000

Du 06/01/2022 au 29/01/2022

Il était une fois un humain dans le désert. À l’heure de la prière que commande sa religion, il cherche la direction rituelle, s’oriente au soleil et dans l’axe trouvé, trace sur le sable un rectangle dans lequel il pénètre après avoir retiré ses sandales. La prière accomplie, il s’en va, laissant au vent le soin d’effacer les traces sur le sable, redonnant à la nature cet espace un instant composé, un instant extrait du monde. (1) Justement illustré par cette citation, on pourrait commencer par dire que le travail d’Evelise Millet tend à interroger l’idée d’espace habité, en s’attachant à diverses notions comme le paysage, le bâti et l’ornementation, ou encore la circulation et les flux. Car dans sa pratique de dessin et de volume, l’artiste modélise des formes et des vues qui sont “extraits du monde” et “composés” avec ce qui n’est pas visible (ou caché). Ces ébauches deviendront peu à peu des œuvres dans lesquelles, absent mais pourtant central, se situe le corps, tel celui de l’humain dans le désert qui marque et façonne le paysage à son passage, et disparaît.

photo EPAULE ET MARCHE

EPAULE ET MARCHE

Metz 57000

Du 27/01/2022 au 29/01/2022

Il était une fois un humain dans le désert. À l’heure de la prière que commande sa religion, il cherche la direction rituelle, s’oriente au soleil et dans l’axe trouvé, trace sur le sable un rectangle dans lequel il pénètre après avoir retiré ses sandales. La prière accomplie, il s’en va, laissant au vent le soin d’effacer les traces sur le sable, redonnant à la nature cet espace un instant composé, un instant extrait du monde. (1) Justement illustré par cette citation, on pourrait commencer par dire que le travail d’Evelise Millet tend à interroger l’idée d’espace habité, en s’attachant à diverses notions comme le paysage, le bâti et l’ornementation, ou encore la circulation et les flux. Car dans sa pratique de dessin et de volume, l’artiste modélise des formes et des vues qui sont “extraits du monde” et “composés” avec ce qui n’est pas visible (ou caché). Ces ébauches deviendront peu à peu des œuvres dans lesquelles, absent mais pourtant central, se situe le corps, tel celui de l’humain dans le désert qui marque et façonne le paysage à son passage, et disparaît. (1) Histoire anonyme ; Franck Rambert, Hors nature : L’enceinte, une figure de la sédentarisation, Métis Presses,[...]